Quatre mois que je n'ai rien publié sur ce blog... Mon activité professionnelle s'étant quelque peu intensifiée, depuis six mois je manque de temps, non pour lire, mais pour écrire, et aussi pour suivre l'actualité de la littérature africaine. C'est donc officiel : « Encres noires » entre en sommeil pour une durée indéterminée.
Une bonne nouvelle cependant : on pourra me retrouver occasionnellement dans les pages de l'hebdomadaire panafricain Jeune Afrique et sur son site internet. Pour commencer, voici une interview de Fatou Diome au sujet de son dernier roman, Celles qui attendent, et une chronique du nouveau livre de Mamadou Mahmoud N'Dongo, La Géométrie des variables.
Ah! Dommage pour ce blog "Encres noires"! Mais bonne nouvelle pour vous si c'est du à une activité professionnelle qui s'intensifie et qui m'a l'air bien intéressante. On essaiera donc de vous suivre sur d'autres cieux...
RépondreSupprimerBonjour, dimanche matin trés pluvieux à Marseille. Je lis le premier numéro de le revue Serge(que je recommande d'ailleurs). P102 rubrique "Dis-moi qui tu lis" un artcile sur Disiz peter punk et bien sur je me connecte pour en savoir plus et paf pof je tombe sur votre blog et la critique de son livre.Cela m'a donné envie de lire "les derniers jours de la rue Ponty".
RépondreSupprimerSuper si vous bossez pour Jeune Afrique. Et merci quand même pour ces chroniques et critiques d'encres noires passées.
Maud une fan de "l'Afrique enchantée"